[Mai] J'aimerais mieux faire des devoirs

Cela faisait à peine quelques jours que Thomas était arriver dans sa nouvelle école, qu'il avait déjà reçut la première lettre de sa mère. Elle lui demandait s'il c'était fait beaucoup d'amis, si tout allait bien en cours, etc. Bref, des truc de maman ! Une demi heure plus tard, il recevait une lettre de son père ! Qui lui demandait si Marguerite s'occupait bien de lui, s'il préférais retourner à Londre avec lui, car sa restait une option possible ! Même s'il ne pouvait pas ce faire de nouveau répartir a Poudlard, sont père allait continuer à espéré qu'il devienne "quelqu'un". Bien sur, il ne l'avait pas écrit de cette manière... mais c'est bien celà que ça voulais dire ! Quoi qu'il en soit, il était bien à Du Ruisseau, dans un pensionnat, pas de chicane.

Le jeune Foster Ce dirigeait vers la bibliothèque, il aurait préféré faire des devoirs, lire quelque chapitre de son manuel d'histoire de la magie, ou même aller en cours d'astronomie ! Mais il avait déjà terminer ses devoirs, était en avance dans sa lecture d'histoire, et n'avait plu de cours avant demain. Il allait donc devoir s’asseoir a une table et rédiger une réponse, a ses deux parents. Si le garçon fonctionnait comme les moldus, avec un ordinateur, il aurait simplement fait copier/coller, avec la 2e lettre, mais là, il allait devoir faire deux copie, a la main, avec une plume et de l'encre. Ce qui ne l'empêcherais pas, pour montrer son agacement, de les faire identique ! Il s'installa donc à une table, sorti ses parchemins de son sac, avec sa plume, son petit pot d'encre et commença...

Cher fan,
Vous êtes nombreux a m'avoir écrit, je vais donc être bref dans ma réponse...

*Non... j'ai pas envie de recevoir une beuglante demain matin... c'est un peu trop...*

Thomas déposa sa plume et fit une boule avec son parchemin, avant d'en prendre un autre. Ce qui lui valu un regard désobligeant de sa voisine de table... et oui, du papier qu'on chiffonne sa fait un peu de bruits. Il roula les yeux et repris son écriture.

Chère figure d'autorité parentale,
je vais bien.

Votre unique fils que vous avez exilez dans le grand nord québécois.